La Valse des Gros Derrières

Affiche du film LA VALSE DES GROS DERRIÈRES

Synopsis

Akwélé, une bombe popotinesque de type négroïde, répondant au doux sobriquet d’antilope incommensurable, rêve de devenir mannequenne-topless et par conséquent VRP de la beauté d’ébène. En attendant, elle tient un salon de coiffure à Barbès et économise en vue de prendre des cours de déhanchements langoureux et de solfège. Une petite frappe, Rod, se hasarde sur son parcours. L’antilope se trouve contrainte de remuer les fesses…

Casting

Mata GABIN (Akwélé) – Jean ODOUTAN (Rod) – Claudia TAGBO (Assiba) – Gaëlle LE SANT (Emma) – Micheline DIEYE (Mama Fina) – Didier DORLIPO (Master Be My Wife) – Stéphane SOO MONGO (Squale Martin Luther King) – Pascal JAUBERT (Squale James Dean) – Vicheka OUM (Squale Ho Chi Minh) – Ghislaine LEDRON (Miss Tube Cathodique) – Antoine CHAMPEME (Juriste Rue d’Assas) – Diouc KOMA (Etudiant Poète) – Patrick CHEVAL (Condé à la boule à zéro) – Jean Marc GUILLERME (Maître Gilles) – Mélanie RATEAU (Zhang) – Bob BRIZARD (Bobby Brown) – Hervé DELUGE – (« Pète les Plombs ») – Ghislaine LEDRON (Chef d’Agence d’Intérim) – Yaya SOUMARE (Nelson Mandela) – Manuel MONTERO (Le King du Bricolage) – Marie-José SEGARRA (Maman au Parc) – Marion COURCOUX (Vendeuse Fourbe 1) – Christelle CLAIR (Vendeuse Fourbe 2) – Jo’Anna GIANCATERINA (Miss Blanchette de Rod) – Augustin RUHABURA (Flic en Civil)

Equipe technique

Réalisation et Scénario : Jean ODOUTAN – 1er Assistant Réalisation : Olivier MITTERRAND – 2ème Assistant Réalisation : Guillaume PESET – Stagiaire Réalisation : Marie-Laure PRESCHEY – Scriptes : Chantal Le ROCH – Catherine RAGOL – Chef Opérateur – Cadreur : Valerio TRUFFA – 1ère Assistante Opératrice : Cécile ANCELIN – 2nd Assistant Opérateur : Sabine CIPOLLA – Electricienne/Chef Machiniste : Stéphanie TECHENET – Jocelyn POULIN – Electriciens machinistes : Jallal LAMHOUTI – Arthur LE RET – Amida BELGARBI ALAIN – Renfort électricienne stagiaire : Joëlle HOFMANN – Chef Maquilleuse : Sandrine WOLFER – Maquilleuse renfort : Marianne BOBET – Chef Costumière : Olga ALEXANDRE – Stagiaire Costume : Hortense PERRON – Ingénieur du Son : Alain VILLEVAL – Perchman : Guillaume VILLEVAL – Renfort Son : Loïc PRIAN – Guillaume DULLAC

La musique

Interprète : Jean ODOUTAN
Paroles et Musiques : Jean ODOUTAN
Édition : 45rdlc – Tabou-Tabac Films (Bénin)
 
Réalisation Musique : Jean ODOUTAN
Programmation : Thierry BENOIT dit RASTEA – Abdel Kader GASSAMA – Nasri NABIL
Basse : Rody CEREYON
Guitares : Alain TOKO
Trompette : Christian MARTINEZ
Saxophone : Thierry FARRUGIA
Trombone : Jean-Christophe VILAIN
Choristes : Gabrielle NICAR – Elisabeth LOUISOR
Ingénieur du Son : Jarvis LAUCHLAND dit TOTO
Mixage : Grâce BROWN

Les critiques

  • Libération (Philippe Azoury) : Le retour du Béninois baroque

…Parti d’une histoire écrite il y a huit ans, c’est le film le plus féministe d’Odoutan. Celui où le cinéaste-acteur-producteur-musicien, que certains soupçonnaient de mégalomanie, endosse sans sourciller le rôle du grand connard macho fier de son mangana. Cette souplesse est la preuve, encore une fois, de l’intelligence d’Odoutan, de sa capacité à tirer à la fois les fils du baroque, de la caricature et de la chronique de société, en se marrant plus fort que tout le monde. Ce mec tient à lui seul tout le cinéma béninois, et il a visiblement encore le moral. Lire la critique complète sur le site du journal.

  • Télérama (Louis Guichard) : Comédie tonitruante

… Le cinéaste signe une comédie tonitruante, évoquant Mocky par sa facture désinvolte, et charriant des torrents de dialogues ubuesques. Mais, sous la dérision, une rage, un désespoir politiquement incorrects affleurent puisque l’ennemi du Noir est moins le Blanc que le Noir lui-même, comme conditionné pour faire son malheur… En attendant cette insurrection intime à laquelle le film invite sans ambages. Lire la critique complète sur le site de Télérama.

  • Africultures (Olivier Barlet)

Rien d’étonnant à ce que le film débute sur les escaliers de la butte Montmartre, haut-lieu historique du Paris populaire. C’est dans cette lignée que se situe Jean Odoutan, celle d’Arletty (« atmosphère, est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? ») et de tous ces acteurs et actrices au franc parler, à l’art de la formule et à l’accent gouailleur qui firent les grandes heures d’un certain cinéma français, relayés aujourd’hui par ceux de La Haine, Wesh-wesh et autres consoeurs du peuple des banlieues… La critique complète sur le site Africultures.com.

Quelques liens

La fiche film sur Allociné

La fiche film sur imdb

La musique sur Deezer

La bande annonce sur youtube

Le film complet sur Lovemyvod